Pour nous contacter: Alternative libertaire 93, BP 295, 75921 Paris Cedex 19 ou par e-mail (montreuil@al.org, saint-denis@al.org ou al93@al.org)
Vous pouvez nous rencontrer au marché de Noisy-le-Sec (2ème samedi de chaque mois,
11h-12h), au marché de la gare RER de Bondy (4ème samedi de chaque mois, 11h-12h), au marché Croix-de-Chavaux à Montreuil (2ème dimanche de
chaque mois, 10h30-11h30) et à l'angle de la rue Gabriel Péri et de la rue de la République à Saint-Denis. Nous y
vendons le mensuel Alternative libertaire.
Retrouvez notre nouveau site : www.libertaires93.org
Le collectif Femmes CGT
de l’Union Locale du
Blanc-Mesnil
Au moment où le Droit à l’IVG est remis en cause dans plusieurs pays d’Europe, nous devons être vigilant-e-s pour conserver nos acquis.
Aussi nous vous invitons à participer à une réflexion sur le thème :
CONTRACEPTION ET I.V.G
Le jeudi 27 MARS 2014 à partir de 17H30
Intervenante : Nathalie CANDIOLO
docteure en Médecine
à La Bourse du travail
158 avenue Charles Floquet
93150 le Blanc Mesnil
tel : 01.48.67.02.86
Le Forum vous invite pendant un mois à découvrir deux étapes de création* du projet « Il n'y a pas que la crise dans nos vies », Portraits d'Européens, initié lors d'un séjour du photographe Thierry Ardouin en octobre 2012 à Valencia et dans sa région, en Espagne. Il se poursuit à l'occasion de la résidence du collectif Tendance Floue à Blanc-Mesnil.
L'intention du photographe est d'aller à la rencontre des Européens en temps de crise.
Au lieu de les interroger sous l'angle journalistique et « trivial » de cette crise, l'ensemble des questions posées cherche à découvrir l'horizon de chacun : Comment vit-on avec et au-delà de la crise ? Comment influe-t-elle les trajectoires de vie ? L'expérience des générations précédentes apporte-t-elle des solutions ? Ce quotidien « contraint » permet-il d'envisager des perspectives, un futur ?
Des témoignages simples, dépouillés, reposant sur une parole libérée qui « en creux » évoque la crise.
Ce projet de portraits vidéo et de photographies s'inscrit donc en contrepoint d'un certain flux d'actualité sur la crise, vue uniquement à travers le prisme économique et sous un angle purement journalistique, parfois trop réducteur.
« Il n'y a pas que la crise dans nos vies » est aussi la première étape de la résidence artistique actuellement menée par le collectif Tendance Floue, dont la restitution finale aura lieu du 8 avril au 10 mai dans la galerie Boltanski.
Le 14 janvier à 18h30 en présence de l’artiste.
Suivi à 19h30 de Chapitres de la chute, texte Stéfano Massini, mise en scène Arnaud Meunier en salle Barbara (tarifs de 7€ à 16 €).
Nous vous invitons d'ores et déjà à noter les prochains rendez-vous avec le collectif Tendance Floue :
- le 6 mars à 18h : présentation des portraits de femmes engagées, exposition de Flore-Aël Surun dans la galerie Boltanski
- du 24 au 28 mars : direction artistique partagée à l'Université Paris 8 de Saint-Denis dans le cadre de la semaine des arts
- à partir du 8 avril : exposition/restitution de l'ensemble des projets menés sur le territoire avec ses habitants.
Pour la deuxième séance de cycle consacré aux liens entre science et progrès, nous avons le plaisir de recevoir le célèbre biologiste Jacques Testart, « père » avec son équipe de chercheurs d’Amandine, le premier bébé éprouvette né le 24 février 1982.
Avec cette véritable prouesse scientifique, Jacques Testart a connu la célébrité, voire la gloire. La révolution scientifique qu’il a initié a bouleversé le domaine de l’assistance médicale à la procréation. Il est pour autant resté très critique sur les usages de la science en s’opposant notamment à la plantation d’OGM.
Président de la fondation Sciences Citoyennes et membre du Conseil scientifique d’ATTAC, il a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques où il appelle à une appropriation citoyenne des enjeux liés à la science.
Il a par ailleurs défendu un point de vue iconoclaste sur la PMA lors des débats sur l’ouverture du mariage aux personnes de même sexe.
Une rencontre sur un thème d'actualité: "Procréation médicalisée : quelle humanité pour demain?" qui s’annonce riche sur la science et ses usages.
La conférence aura lieu le jeudi 28 mars au Forum culturel du Blanc-Mesnil à 19h.
Communiqué
Vendredi 23 novembre, les salariés de Rotos 93 mettront fin à l’occupation de leur entreprise et sortiront victorieux de 175 jours de lutte.
Ils ont gagné contre ceux qui voulaient liquider en toute impunité leur entreprise et leurs emplois.
Ils ont conquis le respect de toute la profession et le soutien de nombreux élus — parlementaires et locaux — et de nombreuses personnalités politiques, y compris des pouvoirs publics comme la Préfecture de la Seine Saint-Denis.
Certes, l’entreprise ne redémarrera pas : le principal client a manoeuvré durant des mois pour faire échouer cette perspective que la mobilisation laissait entrevoir. Mais la charge de travail ne disparait pas. Pour une très large part, elle reste même dans le département. Le SGLCE a déjà interpelé le repreneur de ces titres pour examiner les possibilités d’emplois.
La lutte a permis que les responsables de cette fermeture rendent des comptes. Les salariés de Rotos 93 ont perdu leur travail mais retrouvé une dignité que leur patron et certains éditeurs voulaient fouler aux pieds.
Français et immigrés, ils ont tout partagé durant près de six mois et battu dans les actes ceux qui tentaient de diviser, notamment dans la classe ouvrière, les travailleurs en fonction de leur origine.
Le SGLCE restera mobilisé et fera tout pour que ses adhérents de Rotos 93 retrouvent un emploi. Il remercie l’ensemble de ceux qui ont soutenu cette belle lutte, syndicalistes ou non.
Le SGLCE est fier de ses adhérents et appelle celles et ceux qui le souhaitent à se retrouver vendredi 23 novembre à 13 h 00 sur le site.
Paris, le 21 novembre 2012
Maison du Livre : 94 boulevard Auguste Blanqui – 75013 PARIS – Tél. : 01 43 31 53 51 – Fax : 01 43 31 79 70
Solidarité avec une lycéenne menacée d'expulsion.
Cette jeune fille parrainée en mars dernier, soutenue par la communauté scolaire, vient de faire l'objet d'un refus de séjour avec obligation de quitter le territoire fin octobre, décidé par le sous-préfet du Raincy, alors même que le ministère prétend apporter une solution positive à la situation des jeunes majeurs scolarisés privé du droit au séjour.
Nous ne pouvons l'accepter.
Appel à soutien des enseignants du lycée Jean Moulin
du Blanc Mesnil en faveur de Nazia TAROO
Nazia TAROO est arrivée de l’île Maurice en France en août 2009 et a été aussitôt scolarisée.
Depuis l’année 2010/2011, elle étudie au lycée Jean Moulin du Blanc-Mesnil (93150). Elle est donc actuellement en Terminale Baccalauréat professionnel Secrétariat (TBS). Il s’agit d’une excellente élève, qui a obtenu son BEP secrétariat avec mention Bien et parle parfaitement le français et l’anglais. Nazia n’a jamais eu moins de 13 de moyenne, n’est jamais absente, et a toujours obtenu les Compliments ou Félicitations du conseil de classe.
Pourtant, suite à sa demande de titre de séjour, elle a reçu le 23/10/2012 une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF). Alors qu’il s’agit d’une excellente élève, cette décision aura pour conséquence de l’empêcher d’obtenir son baccalauréat, et de la séparer de toute sa famille et amis qui habitent en France.
Nous enseignants et personnels du lycée Jean Moulin demandons donc un réexamen de sa situation, l’abrogation de son OQTF et la délivrance d’un titre de séjour « Vie privée et Familiale » lui permettant de poursuivre ses études et de s’insérer sereinement dans la société française où elle a toute sa place.
Pour signer cette pétition en ligne :
http://resf.info/article45249.html
TITULARISATION
DES AGENTS PRECAIRES
Les préconisations de la CGT des territoriaux du Blanc-Mesnil
La première phase de mise en œuvre du protocole sur les non-titulaires signé le 31 mars 2011 est loin d’avoir produit tous les effets qu’on pouvait en attendre. Pour la fonction publique territoriale, le décret n’était pas encore signé le jeudi 11 octobre dernier, date de la tenue du dernier dialogue social demandé par la CGT.
Pour nous, les choses sont simples, tout travailleur effectuant le travail d’un fonctionnaire doit bénéficier des droits du fonctionnaire et nous lutterons contre la disparité des statuts au sein de la fonction publique !
Ce qui signifie que :
même si des agents en situation de précarité pourront, dans les conditions telles que prévues par le protocole (agents recrutés sur des emplois à besoins permanents au moins à mi-temps, comptabilisés dans les effectifs entre le 1er janvier et le 31 mars 2011 et depuis au moins 4 des 6 dernières années pour les 55 ans et + et 6 ans sur 8 pour les autres), se voir proposer un CDI et l’accepter, nous continuerons à demander la titularisation.
Pour info : 19 agents employés en CDD (6 en catégorie A, 4 en B, 9 en C) ont été reçus par l’administration (14 d’entre eux ont déjà accepté de contracter un CDI),
pour tous les autres, nous demanderons la titularisation dans les meilleures conditions par le biais de la stagiairisation en catégorie C.
Nous demandons donc à l’administration
de nous communiquer la liste des agents susceptibles de bénéficier de cette loi ;
de privilégier systématiquement la titularisation à la « cédéisation » (passer du CDD au CDI), le statut de la fonction publique étant bien le plus protecteur en termes de droits (on le voit encore avec le nouveau dispositif des « emplois d’avenir » qui, pour les collectivités territoriales, ne seront que des CDD) ;
de refuser de considérer la cédéisation comme un préalable obligatoire à la titularisation (alors que les deux dispositifs, certes prévus par la loi, sont pourtant distincts).
Ce que la CGT peut d'ores et déjà préciser aux agents non titulaires précaires :
Les agents qui sont ou seront sollicités par l'administration pour faire le point sur leur situation (deux mois avant l'année écoulée), et à qui on a rappelé que la reconduction n'était possible qu'une seule fois avec la nouvelle législation, doivent impérativement s'engager à passer le concours correspondant au poste occupé afin de pouvoir justifier de leur présence (et, du point de vue de la collectivité, de respecter le « contrôle de légalité » préfectoral) ;
Le plus important : les agents ont la possibilité de proposer d'être stagiairisés en catégorie C sans baisse du traitement pour ensuite être nommés titulaires de leur grade tout en continuant à passer les concours de leur choix ;
C'est pourquoi nous invitons tous les agents non-titulaires intéressés pour faire le point sur leur situation respective à prendre contact avec la CGT des territoriaux afin de rédiger ensemble le courrier administratif qui stipulera leur vœu (ou départ de la collectivité après deux mois de préavis, ou reconduction pour une nouvelle et dernière année de précarité et inscription au concours s’il a lieu, ou stagiairisation en catégorie C, ou cédéisation).
MAISON DES SYNDICATS
1 RUE LEO DELIBES
TEL 01 48 65 70 31
POINT INFORMATION DEVANT L’HOTEL DE VILLE
LE JEUDI 8 NOVEMBRE
DE 11H45 A 14H00
Le comité n’aurait pas pour vocation à se substituer à la lutte des salariés de PSA mais plutôt de travailler avec eux en toute complémentarité. Populariser et amplifier leurs actions dans une démarche de continuité pourraient être notre ligne directrice. S’appuyer dans un premier temps sur les habitants de la ville, travaillant et militant dans cette usine, pourrait constituer un bon appui pour renforcer la structure du comité et accentuer son pouvoir de nuisance. Enfin la lutte des salariés de PSA ne pourra se faire sans l’appui actif des citoyens pour être victorieuse. Réussir à les convaincre de se mobiliser au sein du comité, pour faire de PSA-Aulnay un point de bascule, offrirait de nombreux avantages :
Communiqué
Les salariés de l’entreprise Rotos 93 — mise en liquidation d’une manière frauduleuse et abandonnée par son principal client, les Éditions Directes — ont décidé de bloquer les titres de cet éditeur.
Les salariés de Presstalis, en lutte pour le maintien de leurs emplois et la défense du système de distribution de la presse, sont à leurs côtés comme l’ensemble des militants du SGLCE.
Paris, le 5 octobre 2012