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  • : Communistes libertaires de Seine-Saint-Denis
  • : Nous sommes des militant-e-s d'Alternative libertaire habitant ou travaillant en Seine-Saint-Denis (Bagnolet, Blanc-Mesnil, Bobigny, Bondy, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin, Rosny-sous-Bois, Saint-Denis). Ce blog est notre expression sur ce que nous vivons au quotidien, dans nos quartiers et notre vie professionnelle.
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Pour nous contacter: Alternative libertaire 93, BP 295, 75921 Paris Cedex 19 ou par e-mail (montreuil@al.org, saint-denis@al.org ou al93@al.org)

Vous pouvez nous rencontrer au marché de Noisy-le-Sec (2ème samedi de chaque mois, 11h-12h), au marché de la gare RER de Bondy (4ème samedi de chaque mois, 11h-12h), au marché Croix-de-Chavaux à Montreuil (2ème dimanche de chaque mois, 10h30-11h30) et à l'angle de la rue Gabriel Péri et de la rue de la République à Saint-Denis. Nous y vendons le mensuel Alternative libertaire.

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Bagnolet: Auchan, 26 av de Gaulle, 87 rue Robespierre, 47 av de Stalingrad. Bobigny: rue du Chemin Vert, Hôpital Avicenne. Bondy: Gare RER. Montreuil: M° Croix-de-Chavaux, 1 av Pasteur, 5 rue E. Varlin, 170 rue de la Nouvelle France. Noisy-le-Sec: Gare RER, 8 rue Jean Jaurès. Romainville: 80 bd H. Barbusse. Rosny-sous-Bois: Carrefour Rosny II, 2 rue Gallieni, 3 av Gallieni. Saint-Denis: 17 pl du Caquet, 4 bd A. France, Cité Franc Moisin, 105 rue Gabriel Peri, Pl des Poulies, Pl du 8 mai 45, 2 rue G. Philippe, 46bis bd J. Guesde, M° Saint-Denis Basilique.
12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 22:17

La pétition en ligne, ici !

 


 

 


 
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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 16:19

Le collectif Femmes CGT

de l’Union Locale du

Blanc-Mesnil

 

Au moment où le Droit à l’IVG est remis en cause dans plusieurs pays d’Europe, nous devons être vigilant-e-s pour conserver nos acquis.


Aussi nous vous invitons à participer à une réflexion sur le thème :



CONTRACEPTION ET I.V.G



Le jeudi 27 MARS 2014 à partir de 17H30

 

Intervenante : Nathalie CANDIOLO


docteure en Médecine



à La Bourse du travail

158 avenue Charles Floquet

93150 le Blanc Mesnil

tel : 01.48.67.02.86

 

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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 15:11

http://www.leforumbm.fr/uploads/e9d144c7f0b70196dc21989baf05045e.jpgLe Forum vous invite pendant un mois à découvrir deux étapes de création* du projet « Il n'y a pas que la crise dans nos vies », Portraits d'Européens, initié lors d'un séjour du photographe Thierry Ardouin en octobre 2012 à Valencia et dans sa région, en Espagne. Il se poursuit à l'occasion de la résidence du collectif Tendance Floue à Blanc-Mesnil.


L'intention du photographe est d'aller à la rencontre des Européens en temps de crise.


Au lieu de les interroger sous l'angle journalistique et « trivial » de cette crise, l'ensemble des questions posées cherche à découvrir l'horizon de chacun : Comment vit-on avec et au-delà de la crise ? Comment influe-t-elle les trajectoires de vie ? L'expérience des générations précédentes apporte-t-elle des solutions ? Ce quotidien « contraint » permet-il d'envisager des perspectives, un futur ?


Des témoignages simples, dépouillés, reposant sur une parole libérée qui « en creux » évoque la crise.
Ce projet de portraits vidéo et de photographies s'inscrit donc en contrepoint d'un certain flux d'actualité sur la crise, vue uniquement à travers le prisme économique et sous un angle purement journalistique, parfois trop réducteur.

« Il n'y a pas que la crise dans nos vies » est aussi la première étape de la résidence artistique actuellement menée par le collectif Tendance Floue, dont la restitution finale aura lieu du 8 avril au 10 mai dans la galerie Boltanski.

*étape de création du photographe Thierry Ardouin dans le cadre de la résidence de Tendance Floue au Forum avec le soutien du Département de la Seine-Saint-Denis.
Vernissage

Le 14 janvier à 18h30 en présence de l’artiste.

Suivi à 19h30 de Chapitres de la chute, texte Stéfano Massini, mise en scène Arnaud Meunier en salle Barbara (tarifs de 7€ à 16 €).

La résidence Tendance Floue, une résidence... à suivre

Nous vous invitons d'ores et déjà à noter les prochains rendez-vous avec le collectif Tendance Floue :

- le 6 mars à 18h : présentation des portraits de femmes engagées, exposition de Flore-Aël Surun dans la galerie Boltanski

- du 24 au 28 mars : direction artistique partagée à l'Université Paris 8 de Saint-Denis dans le cadre de la semaine des arts

- à partir du 8 avril : exposition/restitution de l'ensemble des projets menés sur le territoire avec ses habitants.

 

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29 novembre 2013 5 29 /11 /novembre /2013 15:22
Enfin une participation à la complémentaire santé !

http://idata.over-blog.com/4/68/22/19/dessin-ta_cgt.jpgLes questions de santé et d’accès aux soins ont toujours été une priorité de la CGT. Son investissement historique en est  la preuve, dans la Sécurité sociale mise en place au sortir de la Seconde Guerre mondiale afin de permettre que la solidarité des travailleur-se-s en supporte collectivement le coût.
 
Contre les assurances et autres fonds de pension, qui ne visent que les profits spéculatifs, en renforçant le caractère inégalitaire et l’individualisation des dépenses de santé, la protection sociale et son financement par les cotisations sociales, autrement dit la part socialisée du salaire (résultant de la différence entre le « brut » et le « net » sur nos fiches de paie et la part de cotisation patronale), représentent toujours la solution la plus juste et la plus efficace. Et les attaques contre la Sécurité sociale : du déremboursement des médicaments, à l'exonération de cotisations patronales, en passant par les attaques contre la retraite par répartition, ne visent qu’à affaiblir une conquête du monde du travail : notre conquête.
 
C’est pourquoi nous nous battrons toujours pour une Sécurité sociale à 100 % (soit la prise en charge intégrale des dépenses de santé assurée par la part socialisée du salaire). Mais nous entendons aussi les agents, qu’ils et elles soient syndiqué-e-s ou non, et qui souffrent de ne pas bénéficier (tout de suite) de mutuelles leur permettant de pallier l’affaiblissement politique de la Sécurité sociale.
 
C’est pourquoi, nous avons pesé nationalement sur l’existence du décret de novembre 2011. Et c’est pourquoi nous avons relayé auprès de notre employeur la revendication d’une prise en charge par la municipalité afin d’aider à subvenir aux dépenses de santé des agents.
 
Daté du 8 novembre 2011 et rendu public dans le Journal officiel du 10, le décret sur la participation financière des employeurs territoriaux (pouvant varier de 0 à 100% !) à la protection sociale de leurs agents prévoit deux procédures différentes et non cumulables : 
  • La labellisation : l’employeur contribue au financement d’un contrat, choisi par l’agent, auprès d’une mutuelle ou d’une institution de prévoyance habilitée par un organisme certificateur (la prévoyance permet à un agent d’avoir un complément de revenu lorsque ce dernier se retrouve en demi traitement suite à une longue maladie ordinaire) ;
  • La convention de participation : la collectivité souscrit à un contrat collectif d’une durée de 6 ans auprès d’un ou plusieurs organismes après appel public à la concurrence.
(Notons en passant qu’il est regrettable que le gouvernement actuel ait laissé passer l’occasion d’introduire un dispositif de solidarité entre collectivités, les structures intercommunales rendant les contrats moins coûteux que dans d’autres collectivités. Nous avons l’exemple du CIG – Centre Interdépartemental de Gestion – qui propose une complémentaire santé et prévoyance à l’ensemble de ses agents)
 
Le choix de la labellisation restait le meilleur, invitant les collectivités à proposer à tous les agents sans exception une mutuelle certifiée qui, couplée à de la prévoyance (qui n’a malheureusement pas été retenue par notre collectivité !!!), pouvait idéalement couvrir les dépenses de santé les plus lourdes (longue maladie, accident de service, vieux jours, etc.).
 
Le choix de la convention de participation oblige en revanche la collectivité à proposer une prime, certes estimable, mais seulement aux agents dépourvus jusqu’à présent d’une complémentaire santé ou bénéficiant déjà d'un contrat auprès de la mutuelle labellisée retenue par la collectivité. Pour les autres, ou bien ils devront changer de mutuelle si l'offre municipale leur paraît avantageuse. Ou bien – et c'est plus sensible – ils devront seuls s'en acquitter d'une. Quand on sait aujourd'hui que le coût moyen d'une mutuelle famille frôle les cent euros mensuels et que la prime proposée est d’environ trente euros (soit le tiers de la dépense totale)...
 
Par ailleurs, suivant l’option « Labellisation » retenue par notre employeur, l’agent devra prouver, par le biais d’une attestation annuelle délivrée par sa mutuelle ou sa carte de tiers-payant, qu’il est bien couvert par une complémentaire santé figurant parmi la liste des mutuelles labellisées.
 
Ce dispositif bienvenu pour les agents souffre malgré tout d’une forme d’injustice : puisque chaque agent, quelle que soit sa catégorie, recevra une somme équivalente !
 
Dans tous les cas regardons plutôt la coupe à moitié pleine, plutôt qu’à moitié vide, car c’est tout de même plus de pouvoir d’achat que distribuera notre employeur à une grande partie des agents, environ 380€ de plus par an (31,64€/mois) et surtout la possibilité d’être un peu mieux couvert médicalement et socialement en particulier pour les agents qui ne disposaient pas de mutuelle jusqu’à présent.
 
Nous ne voulons laisser aucun agent au bord du chemin. C'est pourquoi nous invitons tous les agents hésitant sur la solution à adopter, à venir à notre rencontre au local CGT situé à la maison des syndicats, au 1, rue Léo DELIBES, 1er étage, afin qu'ils puissent choisir leur mutuelle labellisée parmi la liste exhaustive dont nous disposons, et ainsi bénéficier de notre expertise et de toute l'aide nécessaire à leur prise en charge.
 
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25 mars 2013 1 25 /03 /mars /2013 20:43
Jacques Testart, "père" du premier bébé éprouvette,
à l’Université citoyenne du Blanc-mesnil

 

http://etienne.chouard.free.fr/Europe/Testart.pngPour la deuxième séance de cycle consacré aux liens entre science et progrès, nous avons le plaisir de recevoir le célèbre biologiste Jacques Testart, « père » avec son équipe de chercheurs d’Amandine, le premier bébé éprouvette né le 24 février 1982.

 

Avec cette véritable prouesse scientifique, Jacques Testart a connu la célébrité, voire la gloire. La révolution scientifique qu’il a initié a bouleversé le domaine de l’assistance médicale à la procréation. Il est pour autant resté très critique sur les usages de la science en s’opposant notamment à la plantation d’OGM.


Président de la fondation Sciences Citoyennes et membre du Conseil scientifique d’ATTAC, il a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques où il appelle à une appropriation citoyenne des enjeux liés à la science.

 

Il a par ailleurs défendu un point de vue iconoclaste sur la PMA lors des débats sur l’ouverture du mariage aux personnes de même sexe.

 

Une rencontre sur un thème d'actualité: "Procréation médicalisée : quelle humanité pour demain?" qui s’annonce riche sur la science et ses usages.


La conférence aura lieu le jeudi 28 mars au Forum culturel du Blanc-Mesnil à 19h.

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 21:49

Communiqué

 

Vendredi 23 novembre, les salariés de Rotos 93 mettront fin à l’occupation de leur entreprise et sortiront victorieux de 175 jours de lutte.

Ils ont gagné contre ceux qui voulaient liquider en toute impunité leur entreprise et leurs emplois.

Ils ont conquis le respect de toute la profession et le soutien de nombreux élus — parlementaires et locaux — et de nombreuses personnalités politiques, y compris des pouvoirs publics comme la Préfecture de la Seine Saint-Denis.

Certes, l’entreprise ne redémarrera pas : le principal client a manoeuvré durant des mois pour faire échouer cette perspective que la mobilisation laissait entrevoir. Mais la charge de travail ne disparait pas. Pour une très large part, elle reste même dans le département. Le SGLCE a déjà interpelé le repreneur de ces titres pour examiner les possibilités d’emplois.

La lutte a permis que les responsables de cette fermeture rendent des comptes. Les salariés de Rotos 93 ont perdu leur travail mais retrouvé une dignité que leur patron et certains éditeurs voulaient fouler aux pieds.

Français et immigrés, ils ont tout partagé durant près de six mois et battu dans les actes ceux qui tentaient de diviser, notamment dans la classe ouvrière, les travailleurs en fonction de leur origine.

Le SGLCE restera mobilisé et fera tout pour que ses adhérents de Rotos 93 retrouvent un emploi. Il remercie l’ensemble de ceux qui ont soutenu cette belle lutte, syndicalistes ou non.

Le SGLCE est fier de ses adhérents et appelle celles et ceux qui le souhaitent à se retrouver vendredi 23 novembre à 13 h 00 sur le site.

Paris, le 21 novembre 2012

Maison du Livre : 94 boulevard Auguste Blanqui – 75013 PARIS – Tél. : 01 43 31 53 51 – Fax : 01 43 31 79 70

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 20:36
La Seine-Saint-Denis solidaire des jeunes majeurs scolarisés

Solidarité avec une lycéenne menacée d'expulsion.

 

Cette jeune fille parrainée en mars dernier, soutenue par la communauté scolaire, vient de faire l'objet d'un refus de séjour avec obligation de quitter le territoire fin octobre, décidé par le sous-préfet du Raincy, alors même que le ministère prétend apporter une solution positive à la situation des jeunes majeurs scolarisés privé du droit au séjour.


Nous ne pouvons l'accepter.

 

 

Appel à soutien des enseignants du lycée Jean Moulin

du Blanc Mesnil en faveur de Nazia TAROO



Nazia TAROO est arrivée de l’île Maurice en France en août 2009 et a été aussitôt scolarisée.

Depuis l’année 2010/2011, elle étudie au lycée Jean Moulin du Blanc-Mesnil (93150). Elle est donc actuellement en Terminale Baccalauréat professionnel Secrétariat (TBS). Il s’agit d’une excellente élève, qui a obtenu son BEP secrétariat avec mention Bien et parle parfaitement le français et l’anglais. Nazia n’a jamais eu moins de 13 de moyenne, n’est jamais absente, et a toujours obtenu les Compliments ou Félicitations du conseil de classe.


Pourtant, suite à sa demande de titre de séjour, elle a reçu le 23/10/2012 une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF). Alors qu’il s’agit d’une excellente élève, cette décision aura pour conséquence de l’empêcher d’obtenir son baccalauréat, et de la séparer de toute sa famille et amis qui habitent en France.


Nous enseignants et personnels du lycée Jean Moulin demandons donc un réexamen de sa situation, l’abrogation de son OQTF et la délivrance d’un titre de séjour « Vie privée et Familiale » lui permettant de poursuivre ses études et de s’insérer sereinement dans la société française où elle a toute sa place.


Pour signer cette pétition en ligne :

 

http://resf.info/article45249.html
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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 19:16

TITULARISATION

DES AGENTS PRECAIRES

 

Les préconisations de la CGT des territoriaux du Blanc-Mesnil

 

http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcRZc8q-bQ0xX5W4MOyEoTOmqaHTN89ozYbD8oCgE895g_GVKg_tgA


La première phase de mise en œuvre du protocole sur les non-titulaires signé le 31 mars 2011 est loin d’avoir produit tous les effets qu’on pouvait en attendre. Pour la fonction publique territoriale, le décret n’était pas encore signé le jeudi 11 octobre dernier, date de la tenue du dernier dialogue social demandé par la CGT.

 

Pour nous, les choses sont simples, tout travailleur effectuant le travail d’un fonctionnaire doit bénéficier des droits du fonctionnaire et nous lutterons contre la disparité des statuts au sein de la fonction publique !

 

Ce qui signifie que :

  • même si des agents en situation de précarité pourront, dans les conditions telles que prévues par le protocole (agents recrutés sur des emplois à besoins permanents au moins à mi-temps, comptabilisés dans les effectifs entre le 1er janvier et le 31 mars 2011 et depuis au moins 4 des 6 dernières années pour les 55 ans et + et 6 ans sur 8 pour les autres), se voir proposer un CDI et l’accepter, nous continuerons à demander la titularisation.

  • Pour info : 19 agents employés en CDD (6 en catégorie A, 4 en B, 9 en C) ont été reçus par l’administration (14 d’entre eux ont déjà accepté de contracter un CDI),

  • pour tous les autres, nous demanderons la titularisation dans les meilleures conditions par le biais de la stagiairisation en catégorie C.

 

Nous demandons donc à l’administration

 

  • de nous communiquer la liste des agents susceptibles de bénéficier de cette loi ;

  • de privilégier systématiquement la titularisation à la « cédéisation » (passer du CDD au CDI), le statut de la fonction publique étant bien le plus protecteur en termes de droits (on le voit encore avec le nouveau dispositif des « emplois d’avenir » qui, pour les collectivités territoriales, ne seront que des CDD) ;

  • de refuser de considérer la cédéisation comme un préalable obligatoire à la titularisation (alors que les deux dispositifs, certes prévus par la loi, sont pourtant distincts).

 

Ce que la CGT peut d'ores et déjà préciser aux agents non titulaires précaires :

 

  • Les agents qui sont ou seront sollicités par l'administration pour faire le point sur leur situation (deux mois avant l'année écoulée), et à qui on a rappelé que la reconduction n'était possible qu'une seule fois avec la nouvelle législation, doivent impérativement s'engager à passer le concours correspondant au poste occupé afin de pouvoir justifier de leur présence (et, du point de vue de la collectivité, de respecter le « contrôle de légalité » préfectoral) ;

  • Le plus important : les agents ont la possibilité de proposer d'être stagiairisés en catégorie C sans baisse du traitement pour ensuite être nommés titulaires de leur grade tout en continuant à passer les concours de leur choix ;

  • C'est pourquoi nous invitons tous les agents non-titulaires intéressés pour faire le point sur leur situation respective à prendre contact avec la CGT des territoriaux afin de rédiger ensemble le courrier administratif qui stipulera leur vœu (ou départ de la collectivité après deux mois de préavis, ou reconduction pour une nouvelle et dernière année de précarité et inscription au concours s’il a lieu, ou stagiairisation en catégorie C, ou cédéisation).

 

CONTACT CGT TERRITORIAUX

MAISON DES SYNDICATS

1 RUE LEO DELIBES

TEL 01 48 65 70 31

 

 

POINT INFORMATION DEVANT L’HOTEL DE VILLE

LE JEUDI 8 NOVEMBRE

DE 11H45 A 14H00

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14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 21:51

 

Bonjour à toutes et à tous
 
La lutte des PSA ne doit pas cesser après le meeting unitaire à la Rose-des-Vents de samedi 29 septembre dernier,
 
Leur comité de lutte représente bien la preuve que nous avons besoin d'outils de ce genre pour assurer l'extension des fronts de résistance et de lutte contre la casse du secteur industriel de notre département et - c'est la même logique patronale et néolibérale - la destruction du statut dans la fonction publique.
 
La présence d'un salarié de PSA Aulnay aux deux heures d'info syndicale à destination des agents titulaires et non-titulaires, syndiqués et non-syndiqués de la collectivité territoriale du Blanc-Mesnil afin de notamment préparer notre participation au meeting unitaire du lendemain est encore une autre preuve de la solidarité de classe, seule à même d'empêcher que la spirale régressive ne se perpétue.
 
Un camarade adhérent à la CGT des territoriaux du Blanc-Mesnil nous a envoyé ce texte (en italique) afin de prolonger notre réflexion et d'affermir nos engagements, tout en posant la question de savoir comment notre comité de lutte peut aider leur comité de lutte PSA.
 
Pour le comité de lutte
 
Après plusieurs mois de mensonges, la direction de PSA a enfin annoncé la fermeture du site d’Aulnay-Sous-Bois. Dans ce contexte, il me semble que le comité de lutte peut jouer un rôle essentiel sur le Blanc-Mesnil. Les licenciements de PSA offrent à cette structure une opportunité pour dynamiser un espace de lutte dépassant les barrières syndicales et politiques. De nombreuses familles sur le Blanc-Mesnil vont être touchées, directement ou indirectement, par cette fermeture qui aura des implications économiques désastreuses pour celles-ci. Ce contexte offrirait à un « comité de lutte PSA » l’occasion de toucher un grand nombre de personnes. En effet, la présence de salariés sur la ville, la proximité du site et l’image dégradée de PSA sont des facteurs pouvant jouer un rôle moteur pour engager une lutte au niveau local. L’objectif étant, à court terme, d’empêcher la fermeture du site et à long terme de recréer du lien social et militant.

Le comité n’aurait pas pour vocation à se substituer à la lutte des salariés de PSA mais plutôt de travailler avec eux en toute complémentarité. Populariser et amplifier leurs actions dans une démarche de continuité pourraient être notre ligne directrice. S’appuyer dans un premier temps sur les habitants de la ville, travaillant et militant dans cette usine, pourrait constituer un bon appui pour renforcer la structure du comité et accentuer son pouvoir de nuisance. Enfin la lutte des salariés de PSA ne pourra se faire sans l’appui actif des citoyens pour être victorieuse. Réussir à les convaincre de se mobiliser au sein du comité, pour faire de PSA-Aulnay un point de bascule, offrirait de nombreux avantages :

  •  

  • Une démultiplication des actions de lutte source d’efficacité dans le temps et dans l’espace.
  •  

     

  • Un sentiment de solidarité qui a pour corollaire un renforcement des luttes.
  •  

     

  • Rappeler aux élus (mairie, département, région, national) que les citoyens, par leurs mobilisations, attendent de leur part un engagement à la hauteur de la situation.
  •  

Dans ce contexte, un comité capable de faire vivre en son sein des salariés, des militants et des citoyens à toute sa place. Les actions multiformes qu’il pourrait déployer amèneraient une pierre à l’édifice d’une lutte hautement symbolique. A l’image de ce comité, qu’il reste encore à définir, pourquoi ne pas imaginer que des structures identiques se forment dans les communes avoisinantes. Un tel projet est ambitieux mais pas impossible. Peut-être dépend-il seulement de notre capacité à faire exister un premier comité sur le Blanc-Mesnil ?
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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 14:28

Communiqué

Les salariés de l’entreprise Rotos 93 — mise en liquidation d’une manière frauduleuse et abandonnée par son principal client, les Éditions Directes — ont décidé de bloquer les titres de cet éditeur.

Les salariés de Presstalis, en lutte pour le maintien de leurs emplois et la défense du système de distribution de la presse, sont à leurs côtés comme l’ensemble des militants du SGLCE.

Paris, le 5 octobre 2012

Rotos-93-toujours-dans-la-lutte.jpg

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