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  • : Communistes libertaires de Seine-Saint-Denis
  • : Nous sommes des militant-e-s d'Alternative libertaire habitant ou travaillant en Seine-Saint-Denis (Bagnolet, Blanc-Mesnil, Bobigny, Bondy, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin, Rosny-sous-Bois, Saint-Denis). Ce blog est notre expression sur ce que nous vivons au quotidien, dans nos quartiers et notre vie professionnelle.
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8 juillet 2013 1 08 /07 /juillet /2013 18:34
Communiqué de l’intersyndicale du Centre National de la Fonction Publique Territoriale  sur les conditions de travail dans l’établissement

Les résultats sont nets et représentatifs de la réalité vécue au quotidien par les agents.


Pour l’écrasante majorité des collègues qui ont répondu, les conditions de travail ne s’améliorent pas au CNFPT et la qualité du service rendu non plus !

 

L’intersyndicale entend porter auprès de la direction générale et du président les préoccupations exprimées pour lesquelles les agents estiment ne pas être entendus.

 

 

Télécharger le tract au format PDF

PDF - 508.8 ko
Tract réponses questionnaire conditions de travail
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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 14:56

Premier rendez-vous : jeudi 20 juin à 19h00, soirée Filmer la drague + rencontre avec le réalisateur Antonin Peretjatko

Pour bien finir l’année et commencer les vacances, le Ciné 104 vous propose le jeudi 20 juin une soirée autour de la drague, en partenariat avec l’ACRIF (Association des Cinémas de Recherche d’Ile de France).

À 19h00 : «Filmer la drague», séance animée par Mélanie Mary et Gaëlle Bantégnie, composée de plusieurs extraits aussi futiles et sérieux que sont complexes les différentes techniques de drague et formes cinématographiques.


À 20h30 : apéro offert par le Ciné 104 dans le hall, avec le concours précieux de l’asso de l’écran 104

À 21h00 : séance de La Fille du 14 juillet en présence du réalisateurAntonin Peretjatko, suivie d’une rencontre

La Fille du 14 juillet
D’Antonin Peretjatko
France. 2013. Couleur. 1h28.
Avec Vimala Pons, Grégoire Tachnakian, Vincent Macaigne, Marie-Lorna Vaconsin, Thomas Schmitt
Festival de Cannes 2013 : Quinzaine des réalisateurs


Hector a rencontré Truquette le 14 juillet et n’a qu’une préoccupation : séduire cette fille qui l’obsède. Le meilleur moyen, c’est de foncer l’emmener voir la mer. Pator ne saurait lui donner tort, surtout si elle est flanquée de sa copine Charlotte.Les voilà partis sur les petites routes de France dont les caisses sont vides.


 


C’est la crise ! En plein été, le gouvernement avance la rentrée d’un mois. Malgré cela rouler en sens inverse du travail n’effraie pas le petit groupe, bien décidé à retrouver la fille du 14 juillet et à vivre un été débraillé.

Sur les routes, au soleil, à la poursuite de l’amour dans des clio rouges, avec des filles en maillot de bain, et des type déguisés en canard... les personnages de ce premier long métrage d’Antonin Peretjatko (déjà auteur de courts métrages très remarqués)
ont un petit air de vacances, un je-ne-sais-quoi hors du temps qui les rend extrêmement sympathique. Cette comédie sur les routes d’une France fantastique, en compagnie du loufoque docteur Placenta déborde d’une énergie charmante et d’une joie communicative. Un premier long-métrage à l’univers ludique.


 

 

Merc 19 juin : 16.45
Jeu 20 : 19.00 : filmer la drague
21.00 : le film+débat

 

Second rendez-vous : mercredi 26 juin à 19H30 à l'Ecran à Saint-Denis
FILMER LA DRAGUE

Filmer la drague Dialogue théorico ludique dans les salles de cinéma à partir de nombreux extraits de films Une proposition de L’ACRIF (Association des cinémas de recherche d’Île-de-France) et de Mélanie Mary, comédienne et metteuse en scène.

Ecran 2 : YANN DEDET
Durée : 1h25
       

La drague, c’est un début. Un lancé de dés à l’horizon de l’amour, où le style, le rire, le gadin, le meilleur comme le pire sont possibles.


Jeux de mots et jeux des corps, la drague est un des arcs ontologique du cinéma.

Scènes centrales dans les comédies sentimentales ou contre-points à d’autres registres, les réalisateurs des films que nous avons choisis s’y délectent à aborder les relations entre les sexes, les regards, j’y vais j’y vais pas, l’amitié quand mon meilleur pote s’imagine coach, le choc de l’action après une sur préparation digne des sportifs de haut niveau, le dépucelage, la pelle – avec la langue. Cette éternelle première fois. Cette narration sans filet.


C’est finalement très romantique, la drague. Ça rejoue cette note pleine et brève, quand le désir est strictement en éveil à toutes les possibilités de vie. Un air d’adolescence et de Marilyn, sauvage, ridicule, émouvante.

Le moyen d’aborder sans se prendre au sérieux ce qui nous chatouille l’estomac toute une vie :

«Je fais quoi là.. ?! J’suis sûr(e) qu’il/elle m’a regardé (e)»

Ah oui, voilà, c’est là qu’il faut parler… Un chewing-gum, une respiration, let’s go !

 

Rencontre avec Yann Dedet, immense monteur de cinéma

La projection sera suivie d’un dialogue entre Yann Dedet et Mélanie Mary ponctué d’extraits de films.

 

Projection de :  Trop de bonheur de Cédric Kahn France/1994/couleur/1h25

 

En quarante ans de carrière, Yann Dedet (qui est aussi acteur, scénariste et réalisateur) a monté près d’une centaine de films et travaillé avec les plus grands cinéastes français. Quelques repères : François Truffaut (Les Deux Anglaises et le continent, La Nuit américaine, L’Histoire d’Adèle H, L’Argent de poche), Philippe Garrel (La Naissance de l’amour, J’entends plus la guitare, Le Cœur fantôme, La Frontière de l’aube), Maurice Pialat (A nos amours, Loulou, Police, Sous le soleil de Satan, Van Gogh), Catherine Breillat (36 Fillette), Jean-François Stévenin (Passe-montagne, Double Messieurs), Claire Denis (Nénette et Boni), Yolande Zauberman (Moi Ivan, toi Abraham), Cédric Kahn (Trop de bonheur, L’Ennui, Roberto Succo), Laurence Ferreira Barbosa (La Vie moderne), Amos Gitaï (Free Zone)… jugez du peu.


FILMER LA DRAGUE

 

 

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17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 10:48

  Disaster / The End of Days : du 03 mars 2013 au 29 juin 2013

 

http://ropac.net/image/resize/exhibition_slideshow_1027/homothetic?resource=/uploads/images/exhibition_photo/exhibition_photo13067e48874cd5570231760b89992b79.jpg

image : Liza Lou. The Damned, 2004 (détail) résine, acier et perles de verre. h: 218,44 x 106,68 x 78,74 cm; f: 226,06 x 68,58 x 99,99 cm.

 

La Galerie Thaddaeus Ropac est heureuse d’annoncer l’exposition Disaster/The End of Days dans sa nouvelle galerie à Pantin. Le commissariat de cette exposition est réalisé par Séverine Wealchli de la galerie et l’historien d’art Michael Bracewell, auteur du texte du catalogue de l’exposition.

 

Le mot désastre trouve son origine dans l’italien “disastro” (dis - et astro “mauvais étoile”). Ce mot traduit la notion de catastrophe, de déclin et de destruction en véhiculant essentiellement la perception négative d’un événement.

 

Riche dans ses interprétations et représentations, le désastre conserve son pouvoir de fascination pour les artistes contemporains. Cette exposition propose une réflexion sur la perception actuelle du désastre avec un dialogue entre des artistes venant de cultures et d’horizons divers et travaillant sur différents supports tels que, la photographie, la peinture, la vidéo et l’installation.

 

Trouvant ses premières représentations dans des scènes religieuses comme « L’expulsion d’Adam et Eve du Paradis » et « La Trahison de Judas », le désastre devient un terme générique dans la représentation biblique. Les artistes Zhang Huan et Liza Lou se sont inspirés de ces épisodes bibliques pour en livrer une interprétation personnelle et originale.

 

Le désastre se retrouve aussi dans certaines scènes mythologiques grecques qui demeurent une source d’inspiration pour les artistes contemporains. Ainsi Jack Pierson, avec son installation de lettres gisant au sol et épelant le nom « Icarus », livre une référence métaphorique et textuelle de la chute d’Icare. Avec sa sculpture en bronze, Robert Longo réinterprète la créature fantastique de la chimère en lui donnant une représentation aussi historique que pop.

 

Le thème s’étend aussi aux problématiques politico-historiques. Cet aspect du désastre se manifeste dans les portraits de dictateurs, comme dans la peinture du cadavre de Kadhafi  par Yan Pei-Ming ou dans les œuvres de Georg Baselitz et Anselm Kiefer revenant sur les tragédies de l’histoire européenne et allemande au XXe siècle et en se demandant comment assumer l’héritage que constituent ces drames.

 

D’autres artistes abordent le désastre dans sa dimension individuelle. Le travail d’Amos Gitai relate des expériences personnelles de guerre ; l’artiste devient ici photographe et nous livre des images originales de conflits qui oscillent entre souvenirs et travail sur la mémoire.

 

A travers la forme du portrait, d’autres artistes explorent une vision plus individuelle de la calamité, de la destruction psychologique et du désastre humain, comme chez l’artiste Barry X Ball où les mutilations de l’âme traduisent une déchéance personnelle.

 

Pour Gilbert & George le désastre prend une dimension sociale en renvoyant au vandalisme, aux crimes et à l’omniprésence de la violence dans notre société. Avec Marc Brandenburg, c’est la déchéance humaine dans sa précarité et sa solitude qui est dénoncée.

 

L’illustration du désastre puise aussi ses sources dans les faits divers, historiques ou récents comme dans l’œuvre de Philippe Bradshaw qui relate l’épisode du Radeau de la Méduse en citant non seulement le tableau romantique de Géricault mais aussi le naufrage de 1816. L’artiste Nate Lowman reprend des événements plus actuels en juxtaposant une inondation à Rio avec un incendie en Ecosse.

 

Certains artistes font aboutir la réflexion sur le désastre dans l’acte iconoclaste menant à la destruction ou à l’autodestruction de l’œuvre elle-même comme dans l’installation de miroirs de Banks Violette qui subit les pressions d’un système hydraulique au point de se briser, de se casser et finalement se détruire au cours de l’exposition.

 

Avec les oeuvres des artistes suivants : Mahmoud Bakhshi - Jules de Balincourt - Barry X Ball - Ali Banisadr - Georg Baselitz - Philippe Bradshaw - Marc Brandenburg - Dexter Dalwood - Elger Esser - Harun Farocki - Ghazel - Gilbert & George - Amos Gitai - Wang Guangyi - Zhang Huan - Anselm Kiefer - Nate Lowman - Robert Longo - Liza Lou - Farhad Moshiri - Jack Pierson - Ged Quinn - Marc Quinn - Daniel Richter - Tom Sachs - Michael Sailstorfer - Banks Violette - Yan Pei-Ming 

 


 
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29 septembre 2011 4 29 /09 /septembre /2011 21:32

Rassemblement à Pantin vendredi 30 septembre 2011 à 18h devant le squat incendié (passage Roche, M° Roche Pantin)

Contre la politique anti-immigrés du gouvernement responsable de la mort de 6 migrants
Pour l'hébergement d'urgence, pour les jeunes migrants des révolutions du printemps arabe

 

Six migrants d’Egypte et de Tunisie sont morts, mercredi 28 septembre, dans l’incendie du squat qu’ils occupaient à Pantin, ville de la banlieue parisienne.

Il s'agit de l'un des incendies les plus meurtriers depuis celui de l'hôtel Paris-Opéra du 15 avril 2005 où 25 personnes d'origine africaine, dont 10 enfants, sont mortes.

L'Etat refuse d'accorder des places d’urgence, particulièrement en Ile-de-France pour héberger les jeunes migrants, qui sont obligés de s'abriter dans des squats dangereux.

Des dizaines de jeunes Tunisiens arrivés en France dans la foulée de la chute du régime de Ben Ali, au mois de janvier, se sont retrouvés à dormir dans la rue.

Le gouvernement de M Sarkozy porte une lourde responsabilité dans ce drame inhumain. Nous lui demandons d'accueillir sans délais touts les migrants en situation de détresse dans des centres d'hébergement en Ile-de-France, à Marseille et ailleurs.

Nous renouvelons notre appel à régulariser les enfants des révolutions du printemps arabe venus en France.

Paris le 29 septembre 2011

 

Premiers signataires : FTCR – UNI*T –UTIT idf – MRAP – LDH – GISTI – ATTAC – PCF – FASE – ATMF – ADTF - Collectif d'Ailleurs nous sommes d'ici – PCOT - AMIS DE BOUAZIZI - Coordination Contre le Racisme et l’Islamophobie - Réseau Féministe « Ruptures - Gauche Unitaire – EELV – UD CGT 93 – FSU 93 – pg - L'union syndicale Solidaires – EMCEMO - l'Union Démocratique Bretonne - Les Alternatifs – CRLDHT – AMF – CEDETIM - L'inter-collectif de soutien aux luttes des peuples du monde arabe (InterCo) - Le Manifeste des libertés- DAL – ATF – FASI – LUTTE OUVRIÈRE – CORELSO – NPA – RESF 93 – PCOF -

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17 mars 2011 4 17 /03 /mars /2011 11:21

Qui connaît l'aventure des 15 entreprises réquisitionnées à Marseille entre 1944 et 1948 ? Ce n'est pourtant pas tous les jours que 15.000 ouvriers participent à la gestion de leur entreprise ! Dans le bouillonnement social et populaire de la Libération, ils ont pratiqué bien avant l'aventure des LIP en 1973 ce que nous appelons l'autogestion, un modèle collectif et démocratique d'organisation du travail dans les usines. Accompagnés par l'historien Robert Mencherini, les derniers acteurs de cette aventure inoubliable consignée dans le film documentaire Les Réquisitions de Marseille (mesure provisoire), dont Raymond Aubrac à l'époque Commissaire régional de la République à Marseille, font revivre cet épisode inédit en revenant sur les lieux mêmes de cette expérience. Le film questionne la mémoire de cette aventure sociale autogestionnaire menée à l'époque du programme du Conseil National de la Résistance qui, à l'heure du discrédit patronal qui avait vu les patrons avoir massivement collaboré avec l'occupant nazi, préconisait l'instauration d'une "véritable démocratie économique et sociale". Cette question hante encore les débats contemporains où se réfléchissent les moyens de sortir du capitalisme en redonnant les moyens de productions aux forces productives qui, ainsi désaliénées, pourront décider de leur destin.

 

Au CINE 104

104, avenue Jean Lolive, 93500 Pantin

(tel : 01-48-46-95-08)

 

Le documentaire

Les Réquisitions de Marseille (mesure provisoire)

 

VENDREDI 25 MARS 2011

vers 20 heures : le film commencera suivi d'un débat

en présence de Raymond Aubrac

 

(une initiative proposé par l'union locale

  CGT Pantin/Le Pré Saint-Gervais

41, rue Delizy, 93500 Pantin, tel : 01-41-71-38-31)

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 18:24

http://www.expression93.fr/IMG/arton199.jpgLe 23 novembre prochain, les élus de notre communauté d’agglomération prennent une décision qui engage durablement la qualité et le prix de l’eau de nos robinets.

En effet, la communauté d’agglomération Est Ensemble pourrait choisir de quitter le Syndicat des Eaux d’Ile-de-France, occasion historique pour mettre en place une gestion publique de l’eu à Pantin!

À ce sujet, la population n’a été ni informée, ni consultée.

Le Syndicat des Eaux (SEDIF) confie, depuis presque un siècle, la distribution de l’eau à la multinationale Véolia. De nombreux élus, citoyens et associations dénoncent le manque de transparence et la surfacturation qui caractérisent ce contrat.

Avec un prix moyen de 4€ le m3, notre eau est parmi les plus chères de France 

Pire encore, notre eau est contaminée par l’aluminium, une des causes probables de la maladie d’Alzheimer, comme révélé récemment par le reportage de France 3 "Du poison dans l’eau du robinet".

Une meilleure gestion de l’eau est possible.

En se connectant au réseau parisien, nos élus peuvent choisir une eau publique, sans aluminium, et moins chère!

APPELEZ LA MAIRIE POUR PLUS D’INFO : 01 49 15 40 00

Nous demandons au Maire et président de Est-Ensemble, Mr Kern, ainsi qu’à tous nos représentants au sein du Conseil Communautaire, de prendre toutes les dispositions nécessaires permettant d’aboutir à une gestion publique de l’eau à Pantin et dans les communes concernées.

Nous exigeons que la Commission Consultative des Services Publics Locaux, qui représente les citoyens, soit consultée, comme il est prévu par la loi. De plus, nous exigeons que la population soit consultée par referendum, car cette décision engage durablement notre avenir.

Nous appelons la population pantinoise à s’emparer de ce débat :

- rassemblement mardi 23 novembre 2010, 18h à l’occasion du vote du Conseil Communautaire. La séance est ouverte au public. Romainville, Palais des fêtes, 28 rue Paul Vaillant Couturier (à côté de la Mairie)

- jeudi 25 novembre 2010, 18h30 à l’occasion du Conseil Municipal de Pantin. La séance est ouverte au public. Centre administratif - 84/88, av. du Général-Leclerc

Plus d’info: http: //eauidf.blogspot.com

 

Télécharger le flyer en PDF

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 17:15
Manifestation le samedi 13 Mars contre l’attaque et le harcèlement d’une épicerie bio a Pantin

Depuis le 25 avril 2009 une épicerie biologique la première et la seule de Pantin s’est ouverte au 41 rue Hoche. Dès le mois de mai l’épicerie Kulture Bio a reçu des accusations "d’affichage sauvage" selon la mairie qui demande de payer 160 euros pour le décollage d’affichettes.
La facture de cette société n’a jamais été présentée. Ces tracasseries ont-elles pour objectif d’étouffer économiquement cette initiative? Par ailleurs la municipalité a des vues immobilières sur ce quartier, et menace les locaux de la boutique d’expropriation…Mais dans ce cas ne lui doit-elle pas un relogement ?
Des pétitions ont recueilli plus de 2500 signatures.
- Pour la levée des poursuites financières à l’encontre de Kulture Bio.
- Pour l’arrêt du harcèlement et des tracasseries contre cette boutique.
- Pour que la mairie lui propose des locaux commerciaux viables sur la ville.

Pour tout contact : Comité de soutien : 06.21.48.17.85 / 09.52.98.77.98

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 08:58

Manifestation le samedi 13 Mars à 10h30 Contre l’attaque et le harcèlement d’une épicerie bio a Pantin

Depuis le 25 avril 2009 une épicerie biologique la première et la seule de Pantin s’est ouverte dans la ville au 41 rue Hoche.

Dès le mois de mai des tracasseries administratives on commencé de la part de la municipalité. Des accusations "d’affichage sauvage" selon la mairie. Il s’agit : de cartes de visites format (5,50 cm X 8 cm), qui "défigurent le paysage urbain". (En cette période préélectorale, c’est risible). Et ces cartes n’ont jamais été collées !

L’administration demande à l’épicerie Kulture Bio de payer 160 euros pour une prestation de décollage d’affichettes, la facture de cette société n’a toujours pas été produite par les services municipaux. Ce document a pourtant été demandé plusieurs fois avec insistance par courrier R.A.R Pire, la mairie utilise, maintenant, le Trésor Public pour le recouvrement de cette somme ! (Au prétexte d’un décollage imaginaire !). Les courriers municipaux sont signés de la main de Monsieur le Maire.

Ces tracasseries ont-elles pour objectif d’étouffer économiquement cette initiative, afin que cette boutique ferme ? Par ailleurs la municipalité a des vues immobilières sur ce quartier, et menace les locaux de ce lopin où est située la boutique Bio d’expropriation…Mais dans ce cas ne lui doit-elle pas le logement dans de nouveaux locaux ?

Le journal municipal, Canal, n’a rien écrit sur l’existence de cette épicerie bio. Les habitant-e-s n’ont donc jamais été informé-e-s. Un journal d’information municipal ne doit-il pas informer sur ce qui se passe dans la ville, ou n’est il que la voix des élus locaux ?

 La municipalité n’a jamais aidé ou soutenu ce commerce de proximité.

Cette épicerie n’est pas comparable au centre Leclerc, Hermès ou la BNP, doit on s’acharner contre elle, comme cela pour autant ? ? Est-il logique de privilégier les grands qui le sont déjà, plutôt que les petits ? Et pourquoi les petits devraient-ils accepter de courber l’échine devant les puissants ?

Des pétitions ont recueilli plus de 2500 signatures.

- Pour le maintien et le droit à l’existence des commerces de proximités.

- Pour la levée des poursuites financières à l’encontre de Kulture Bio.

- Pour l’arrêt du harcèlement et des tracasseries contre cette boutique.

- Pour que la mairie lui propose des locaux commerciaux viables sur la ville.

 

Manifestation le samedi 13 Mars à 10h30 départ au 41 rue Hoche pour déposer les 2500 pétitions à la mairie.

Accès : métro Hoche

Contact : Comité de soutien : 06.21.48.17.85 / 09.52.98.77.98.

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